Construire son propre programme avec les pauvres
Les conférences de Virginie ouest aident les pauvres à construire leur programme propre.
Un proverbe dit : « donne un poisson à un homme il mange un jour, enseigne lui à pêcher, et vous le nourrissez pour la vie »
La Conférence Louise de Marillac, connue comme la conférence du Virginie du sud-ouest, a pris ce dicton à cœur et a commencé un programme dénommé : « Aides-toi toi-même », qui aide les personnes à augmenter l’aide alimentaire qu’ils reçoivent des conférences.
La Conférence Ste Louise de Marillac a commencé en 2013 comme une extension de la région est de la Société Saint Vincent de Paul, ses conseils et conférences.
La conférence est située à Appalachia, a centre minier du département. Alors que la région et une zone de merveilleuses montagnes et de personnes très amicales, c’est aussi a zone la plus pauvre des Etats-Unis.
La dernier Rapport sur la situation économique du Comté dans l’Appalachian Virginie Ouest, le taux de pauvreté a augmenté de 17,6 pour cent. Tandis que le taux de pauvreté selon le bureau national du Recensement n’est que de 15,6 pour cent.
Beaucoup de résidents de cette région sont employés dans les activités de l’industrie minière comme source de revenus. Cependant, l’industrie continu à diminuer. C’est pour cela que davantage de personnes se retrouvent au chômage et dans une situation de misère éprouvante.
Appalachia n’est pas un lieu de vie de beaucoup de Catholiques. La paroisse Louise de Marillac n’a que 18 fidèles. Elle ne peut donc pas seule soutenir la Société Saint Vincent de Paul. C’est la raison pour laquelle la Conférence est soutenue par les Conseils et le Conférences de la Région Est environnante. La Conférence a deux programmes principaux. Un est un dépôt aidé d’un employé à plein-temps qui distribue des aliments, ustensiles d’usage commun, du matériel de construction et un service d’urgence de réparation d’habitations.
L’autre est un magasin alimentaire que la Conférence a commencée en 2005. L’épicerie sert plus de 500 familles chaque mois, et projette d’aider plus de 700 familles d’ici novembre et décembre durant les vacances.
Ces dix dernières années les opération la SSVP l’épicerie alimentaire a connu de changements. Cependant le nombre d’usagers dans le besoin et les coûts des services n’ont cessé d’augmenter. Il a semblé évident aux responsables vincentiens que des changements devaient être opérés.
“le changement systémique est vital pour en finir ou diminuer la pauvreté. Mais si souvent les Vincentiens voient le changement systémique comme quelque chose de trop grand » dit Arnold Simonse, président d’une Conférence : « le changement systémique doit aussi se produire au niveau individuel »
Le changement systémique est un processus qui a pour principal objectif de parvenir à une transformation radicale dans a vie de celles et ceux qui vivent dans La pauvreté. Le changement systémique voit plus loin qu’en simple réponse aux besoins de nourriture, vêtements ou habitation, il vise à identifier et trouver des réponses aux causes de ka pauvreté (tel que le besoin d’éducation, de travail, d’économie stable ainsi que d’autres aspects).
Ce stratégies du long-terme comprennent : l’accompagnement, la collaboration avec d’autres organismes aux mêmes objectifs, et une défense pour aider aux changements du système. L’objectif est de sortir les personnes de la pauvreté en leur donnant la capacité à être plus efficient, à introduire des changements dans leur vie, et en les accompagnant afin qu’ils deviennent acteurs de leur propre autosubsistance.
Ces programmes ont aidés et continuent d’aider des personnes dans leur chemin pour sortir de la pauvreté en route vers la classe moyenne.
Les membres des conférences ont dû apprendre à travailler comme partenaires avec celles et ceux qui venaient à l’épicerie chaque mois. L’objectif principal était de travailler avec les chargés de l’épicerie pour les aider à être attentifs à leurs propres besoins.
Ils ont développé l’idée que les personnes qui venaient à l’épicerie pouvaient aussi répondre à leurs propres besoins pour compléter ce qu’ils recevaient. Le plan a été connu sous le nom de « mieux connaitre ses besoins ».
« nous avons de suite reconnu deux freins à « mieux connaitre ses besoins ». le premier était l’environnement dans la région est accidenté et rocailleux, faire son jardin est difficile. L’autre était les personnes elles-mêmes. Toutes avaient abandonnées, et étaient sans espoir face à leur situation ». disait Simonse. Ils ont mis en place trois étapes pour mettre en œuvre le plan et dépasser leurs blocages.
La première étape comprenait donner quatre tomates à 500 familles et deux plants de piment. Quelques mois après, les responsables ont demandés si les graines avaient été plantées et quelques légumes récoltés, les réponses ont été concluantes….
Traduction Bernard massarini c.m.
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